Ce petit matin
Paroles & Musique : David-Johann Dray
Prendre un avion, au petit matin,
Sentir le vent frais, sur ma peau qui caresse,
Au bord du rivage, j’prends mon temps, je paresse,
La mer me murmure, lancinante son refrain…
Marcher les pieds nus, en ce petit matin,
Quand le sable se dérobe, se faufile sous mes pas,
Je ressens le besoin, d’partager avec toi,
La lumière, les odeurs, l’air iodé, les embruns.
Les perles, les bijoux, les robes de princesse,
Je les laisse aux sirènes qui viennent réclamer.
En échange de leur chant, qui ne cesse d’appeler,
Ta présence à mon bras, un moment de tendresse.
Mes robes les plus belles, mes rubans aux cheveux,
Le rimmel à mes yeux, l’teint doré de ma peau,
Que je sois à Cuba, à Papeete, à Rio,
Ta présence à mon bras, c’est tout ce que je veux.
Quelle est belle cette aurore, qu’il est beau ce rivage,
En ce matin serein, si précieux à mes yeux,
Je ressens la musique, cet endroit délicieux,
Car je sais que demain, tu vas faire tes bagages.
Pour rejoindre mon cœur, pour unir nos mains,
Dans un lieu où les anges, m’ont confié de t’attendre,
Pour un voyage d’amour, pour un moment si tendre,
Qui a été promis, à ce petit matin.
Les perles, les bijoux, les robes de princesse,
Je les laisse aux sirènes qui viennent réclamer.
En échange de leur chant, qui ne cesse d’appeler,
Ta présence à mon bras, un moment de tendresse.
Mes robes les plus belles, mes rubans aux cheveux,
Le rimmel à mes yeux, l’teint doré de ma peau,
Que je sois à Lima, à Paris, à Tokyo
Ta présence à mon bras, c’est tout ce que je veux.
Les perles, les bijoux, les robes de princesse,
Je les laisse aux sirènes qui viennent réclamer.
En échange de leur chant, qui ne cesse d’appeler,
Ta présence à mon bras, un moment de tendresse.
Mes robes les plus belles, mes rubans aux cheveux,
Le rimmel à mes yeux, l’teint doré de ma peau,
Que je sois à Baya, à Marseille, à Oslo
Ta présence à mon bras, c’est tout ce que je veux.
Les perles, les bijoux, les robes de princesse,
Je les laisse aux sirènes qui viennent réclamer.
En échange de leur chant, qui ne cesse d’appeler,
Ta présence à mon bras, un moment de tendresse.
Mes robes les plus belles, mes rubans aux cheveux,
Le rimmel à mes yeux, l’teint doré de ma peau,
Que je sois à Cuba, à Papeete, à Rio
Ta présence à mon bras, c’est tout ce que je veux.
La plage est déserte, en ce petit matin,
Que pour moi, que pour celle, qui attend ta venue.
Sur quelle route, sous quel ciel, à quelle heure, dans quel but ?
Tu t’affaires, tu t’agites, loin de moi, tellement loin.
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